Composition du conseil d’administration 2023

  • Conseil d’administration à l’issu de l’assemblée générale du 22.03.23:

Bureau:

  • Carine Federspiel: Présidente
  • Jean-Claude Leners: Vice Président
  • Josée Thill: Secrétaire générale
  • Jean Hamen: Secrétaire
  • Jean-Paul Steinmetz: Trésorier
  • Denis Mancini: Trésorier adjoint

Administrateurs:

  • Régine Arnold
  • Jeannot Clement
  • Dirk Collmann
  • Anna Kornardt
  • René Dondelinger
  • Catherine Gapenne
  • Romain Mauer
  • Danielle Meyer
  • Cerasela Laptes
  • Emile Walch
  • Vibeke Walter

 

 

STATUTS ALGG

ASSOCIATION LUXEMBOURGEOISE DE GERONTOLOGIE/GERIATRIE

A.s.b.l.  – Siège social : Luxembourg

Chapitre I. – Dénomination – Siège – Durée

Art. 1er. Il est constitué une association sans but lucratif sous la dénomination « ASSOCIATION LUXEMBOURGEOISE DE GERONTOLOGIE/GERIATRIE ».

Son siège est à Luxembourg et sa durée est illimitée.

Chapitre II. – Objet

Art. 2. L’Association a pour objet :

  1. D’étudier les moyens préventifs et thérapeutiques se rapportant à la vieillesse et à ses aspects médicaux, psychiatriques, psychologiques sociaux, démographiques, biologiques, économiques, éthiques, et culturels.
  2. De permettre, grâce à son caractère pluri- et interdisciplinaire une synthèse des travaux effectués dans les diverses disciplines tant dans le domaine de la recherche que dans celui de l’action.
  3. De contribuer, sur tous les plans, à l’amélioration des conditions de vie et d’existence des personnes âgées de notre pays.
  4. De réaliser son objet, seule ou en collaboration avec les pouvoirs publics ou avec toutes les organisations ou personnes intéressées à une activité similaire.
  5. De collaborer avec les organismes internationaux s’intéressant aux questions de Gérontologie/Gériatrie
  6. De mettre en œuvre des actions d’information et de formation et en général d’accomplir tous les actes se rapportant directement ou indirectement à son objet.

Chapitre III. – Les membres

Art. 3. Le nombre des membres de l’association est illimité sans pouvoir être inférieur à trois (3). La demande d’adhésion est soumise au Conseil d’Administration de l’association qui décide à la majorité des voix de ses membres. En cas de rejet de la demande, recours peut être interjeté auprès de l’Assemblée générale qui décide en dernier ressort. Chaque membre s’engage à respecter les dispositions statuaires.

Art. 4. L’association peut comprendre les catégories de membres suivants :

  1. Des membres actifs : peut devenir membre actif toute personne physique ou morale intéressée ou engagée dans l’action en faveur des personnes âgées.
  2. Des membres correspondants : peut devenir membre correspondant toute personne physique ou morale demeurant à l’étranger qui s’est particulièrement distinguée dans le domaine de la gérontologie/gériatrie. Le membre correspondant peut prendre part aux séances de travail de l’association, mais ne jouit pas des droits reconnus aux membres actifs. Il ne paie pas de cotisation.
  3. Des membres d’honneur : peut devenir membre d’honneur toute personne ayant apporté une contribution morale ou matérielle à la réalisation des buts poursuivis par l’association.

Art. 5. La qualité de membre se perd par le décès, par la démission écrite adressée au Conseil d’Administration, par le refus de payer la cotisation annuelle, par l’exclusion prononcée par l’Assemblée générale sur le rapport du Conseil d’Administration.

En cas d’atteintes graves portées aux statuts, aux lois de l’honneur ou à la bien séance, le Conseil d’Administration peut suspendre provisoirement un membre de ses droits jusqu’à la prochaine Assemblée générale qui décidera de l’exclusion. Tout membre démissionnaire ou exclu n’a aucun droit sur le fonds social et net peut réclamer le remboursement de ses cotisations.

Chapitre IV. – Le Conseil d’Administration

Art. 6. L’association est gérée par le Conseil d’Administration qui a compétence pour tous les actes se rapportant à la réalisation des objets de l’association sauf ceux réservés par la loi et les présents statuts à l’Assemblée générale.

Le Conseil d’Administration est composé de 25 membres effectifs au maximum.

Sont éligibles tous les membres actifs qui ont posé leur candidature par écrit au Président au moins 10 jours avant l’Assemblée générale.

Les associations suivantes dont la liste peut être complétée ou changée par l’Assemblée générale, peuvent se faire représenter par un mandataire au Conseil d’Administration : L’Amiperas, l’Anil, la Croix Rouge, la Ligue Luxembourgeoise de Prévention et d’Action médico-sociale, la Conférence Nationale des Religieuses du Luxembourg (CNRL), la Caritas, la Ligue Luxembourgeoise d’Hygiène Mentale. L’Assemblée générale désigne ces représentants sur proposition de l’organisme représenté, sans que le nombre de ces mandataires puisse dépasser le tiers des membres effectifs du Conseil d’Administration.

A côté des membres effectifs, le Conseil d’Administration demandera la désignation par les Ministères de la Famille, de la Santé et de la Sécurité Sociale d’un délégué par Ministère. Ces délégués assisteront aux réunions de l’Assemblée générale et du Conseil d’Administration en tant qu’observateur avec voix consultative.

Les membres du Conseil d’Administration exercent leur mandat pendant quatre années. La moitié du Conseil est renouvelée tous les deux ans ; les premiers sortants seront désignés du sort.

Les membres effectifs sont rééligibles.

Art. 7. Le Conseil d’Administration désigne en son sein un Président qui préside les réunions, un Vice-Président, un Secrétaire général, un Secrétaire adjoint, un Trésorier et un Trésorier adjoint.

Art. 8. Le Conseil d’Administration est convoqué par le Président ou sur demande écrite d’au moins un tiers des membres du Conseil d’Administration. Les décisions sont prises à la majorité des voix. Le Conseil d’Administration est valablement constitué pour prendre une décision si la majorité des membres est présente.

Art. 9. Le Conseil d’Administration se réunit à la demande du Président, chaque fois que l’intérêt de l’association l’exige, mais au moins quatre fois par an.

Il représente l’association dans tous les actes judiciaires et peut déléguer tous les autres pouvoirs à un comité de gestion qu’il désigne. Il gère les affaires de l’association et propose le montant de la cotisation annuelle qui ne dépasse pas 1.000.- francs (ind. 100). Il peut acquérir des biens et accepter des subventions, dons, legs, et en général toutes autres aides matérielles ou financières.

Art. 10. Il soumettra à l’approbation de l’Assemblée générale un règlement d’ordre intérieur, destiné notamment à préciser les statuts et à fixer la constitution, le fonctionnement et les compétences du Comité de Gestion.

Art. 11. Pour lier l’association, les actes du Conseil d’Administration devront porter la signature conjointe du Président ou du Vice-Président et du Secrétaire général ou du secrétaire adjoint.

Le Président peut déléguer les opérations administratives courantes au secrétariat.

Pour toute opération financière la signature conjointe du Président ou du Vice-Président et du Trésorier ou du Trésorier-adjoint est exigée.

Chapitre V. – L’Assemblée générale

Art. 12. L’Assemblée générale se réunit une fois par an en session ordinaire et en outre soit, sur décision du Conseil d’Administration, soit à la demande écrite d’un cinquième des associés. L’Assemblée générale est informée par un rapport d’activité et de gestion du Conseil d’Administration. Elle délibère sur les questions de l’ordre du jour, prend des résolutions, élit les membres du Conseil selon les modalités fixées à l’art. 6 des présents statuts, se prononce conformément aux prescriptions légales sur la modification des statuts, sur la dissolution de l’association et sur l’affectation du patrimoine qui doit être attribué à un organisme poursuivant des buts similaires à ceux visés à l’art. 2 des présents statuts.

L’Assemblée générale fixe le montant de la cotisation annuelle.

Art. 13. L’Assemblée fait contrôler les caisses et les comptes par deux réviseurs de caisse, par elle annuellement désignés, donne décharge aux membres du Conseil d’Administration et approuve le budget pour le prochain exercice.

Art. 14. Sauf dispositions ou décisions contraires à prendre par l’Assemblée générale à la majorité des voix des membres présents le vote a lieu à main levée.

Art. 15. Les résolutions et décisions de l’Assemblée générale sont conservées au siège social où tous les membres peuvent en prendre connaissance. S’il y a lieu, elles sont protées à la connaissance des tiers par publication au Mémorial.

Art. 16. L’année sociale commence le 1er janvier et se termine le 31 décembre.

Les dispositions de la loi du 21 avril 1928 sur les associations sans but lucratif, sont applicables à tous les cas non prévus aux présents statuts.

Enregistré à Luxembourg, le 27 février 1986, vol. 375, fol. 49, case 11.

Archives du FORUM DEMENZ

Seit 2016 organisiert die ALGG jährlich im März ein Forum zu  aktuellen Themen der Betreuung von Menschen mit Demenz in Luxemburg

Wegen der COVID Pandemie fand 2020 und 2021 kein Forum Demenz statt

Rund 130 Teilnehmer waren am 20.3.19 ins Utopia gekommen um den Vortrag von Prof Peter Wissmann, sowie die Vorstellung der neuen Lernvideos zum Thema «Kommunikation im Umgang mit Menschen die ein herausforderndes Verhalten zeigen » mitzuerleben.

  • Begrüßung von ALGG-Präsidentin Dr. Carine Federspiel hatten Dr. Françoise Berthet vom Gesundheitsministerium (Division de la médecine curative et de la qualité en santé) sowie Lydie Diederich (Association Luxembourg Alzheimer) Gelegenheit, den neuen Leitfaden „Menschen mit Demenz im Krankenhaus” vorzustellen. Ein Thema, das seit langem kontrovers diskutiert wird, da die Versorgung dieser Patientengruppe im Hinblick auf ihre besonderen Bedürfnisse dringend verbesserungswürdig ist und zum Teil eklatante Mängel bestehen, z.B. was den Einsatz freiheitsentziehender Maßnahmen anbelangt.
  • Der Leitfaden ist somit ein erster Schritt in die richtige Richtung, in dem er, so Dr. Berthet, Empfehlungen im Sinne von gezielten bonnes pratiques ausspricht. Diese müssten in Zukunft von allen Mitarbeitern und Direktionen getragen und in die Praxis umgesetzt werden. Auch das neue Gesetz im Hinblick auf den Plan hospitalier schenkt von neuro-degenerativen Erkrankungen betroffenen Patienten explizit größere Beachtung: «Il s’agit de définir une approche pluridisciplinaire pour chaque service et de créer des réseaux de compétences afin de garantir une prise en charge complète », betonte Dr. Berthet. Lydie Diederich erläuterte anschließend, welche konkreten Maßnahmen es nunmehr zu ergreifen gelte , so z.B. eine generell bessere Anpassung des Klinikalltags an Menschen mit Demenz, stärkere Begleitung bzw. Einbindung der Angehörigen (Förderung von rooming in), geeignete Essensangebote zur Vermeidung von Mangel- und Unterernährung, spezifische Fort- und Weiterbildungen für Klinikpersonal sowie Einsatz von speziellen „Demenz-Lotsen”. In der Ausbildung von Ärzten und Pflegekräften sollten vermehrt Fragen der Haltung zu älteren Menschen und Demenzkranken sowie eine Handlungssicherheit für ethisch-rechtliche Fragen vermittelt werden. Auch die Erstellung einer sicheren Datengrundlage über die Prävalenz der Demenzen in Luxemburger Akutkliniken sollte gefördert werden.
  • Das „Programm Demenz Prävention” (pdp), das inzwischen in einer zweiten Phase vom Luxembourg Centre for Systems Biomedicine unter der Leitung von Prof. Dr. Reijko Krüger an der Uni Luxemburg weitergeführt wird, ist ein weiterer Baustein des nationalen Demenzplans. Es richtet sich ausschließlich an Menschen mit leichten kognitiven Beeinträchtigungen (Mild Cognitive Impairment, MCI), deren Verlauf mit Hilfe gezielter, individueller Präventionsangebote (z.B. Bewegung, Ernährung oder Gehirntraining) verzögert werden soll. Um an dem kostenlosen Programm teilnehmen zu können, ist eine ärztliche Überweisung erforderlich, wenn eine leichte Leistungsminderung des Gehirns vermutet wird. Verantwortlich für die Durchführung umfassender neuropsychologischer Tests sowie der Erstellung des anschließenden Präventionsprogramms ist die Neuropsychologin Jennifer Kemp, die die Vorgehensweise des pdp anschaulich erläuterte.
  • Jean-Marie Desbordes, Direktor des Info-Zenter Demenz, gab nach der Pause Einblicke in die vielseitigen Aktivitäten der im November 2016 offiziell eingeweihten Struktur. Als „neutraler Multiplikator” in Sachen Information, Orientation und Sensibilisierung sind Desbordes und seine Mitarbeiterinnen Tara Jung und Isabel Pereira seither landesweit unterwegs, stehen aber auch für ausführliche Gespräche in den Räumlichkeiten des Info-Zenters in der Rue des Bains in Luxemburg-Stadt zur Verfügung.
  • Abschließend skizzierte Dr. Murielle Weydert vom Familienministerium die Etappen bzw. Module der insgesamt fünftägigen Weiterbildung Psychogeriatrie. Simon Groß (RBS-Center fir Altersfroen) präsentierte die zu diesem Zweck eigens gedrehten Videos als didaktisches Mittel für das Modul „Umgang mit herausforderndem Verhalten” und erläuterte deren Einsatz. Denis Mancini (Association Luxembourg Alzheimer) wies auf die Leitlinien des Moduls „Basiswissen Demenz” hin, die auf einem auffällig gestalteten Plakat unter den Punkten Demenz, Haltung, Schutzmaßnahmen und Ernährung zusammengefasst sind. Die Plakate sollen ebenfalls als didaktisches Mittel in hausinternen Demenzschulungen genutzt sowie innerhalb der Häuser gut sichtbar aufgehängt werden. Sie sind auf deutsch und fränzösisch beim Familienministerium erhältlich. In Planung sind derzeit die Module Kommunikation (mit den Schwerpunkten Sexualität und Dysthymie) sowie Qualität.
  • Weitere Infos zu den Initiativen auf www.demenz.lu. Der Leitfaden „Menschen mit Demenz im Krankenhaus” wird in Kürze beim Gesundheitsministerium erhältlich sein.
  • 2018:

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  • 2017  L’édition 2017 a été couronné par un franc succès. L’amphithéâtre de la Maison du Savoir à l’Université à Belval, plein à craquer, a accueilli un public professionnel très intéressé aux questions que se posent les chercheurs de renommée qui travaillent au Luxembourg sur le sujet de la maladie démentielle.

L’ALGG se voit confirmée dans ses actions par le Ministère de la Famille et de l’Intégration qui témoigne de son soutien par la présence personnelle de Mme la Ministre Corinne Cahen.

  • 2016

20160316 Forum Demenz (10)Dans le cadre du Forum annuel sur les pathologies démentielles l’ALGG a invité le 16 Mars au tour du thème des soins palliatifs chez les personne âgée démente:

Les trois orateurs Mme Michèle Halsdorf de l’Association Luxembourg Alzheimer, Mme Marcelle Diederich de Omega 90 et Dr Serge De Nadai du Service de Gériatrie aigüe du CHL ont permis d’aborder un sujet grave et difficile en illustrant par le biais de modèles pratiques implémentés dans les services respectifs. L’objectifs consiste à sensibiliser et former tous les acteurs professionnels dans le milieu hospitalier et extra-hospitalier à collaborer dans leurs efforts en proposant aux personnes âgées démentes une prise en charge en fin de vie de haute qualité qui se base sur des considérations éthiques interdisciplinaires.

Madame la  Ministre de la Famille et de l’intégration a honoré les participants et les organisateurs par sa présence personnelle et son allocution.

 

http://www.sante.public.lu/fr/publications/p/palliative-care-older-practices/index.html

www.santé.lu

Soins palliatifs

Lorsque la médecine ne peut plus guérir, que la personne se trouve dans une situation médicale sans issue à la suite d’un accident ou d’une maladie, des soins palliatifs peuvent être apportées à la personne en fin de vie pour lui soulager ses douleurs, préserver sa dignité humaine et maintenir une certaine qualité de vie.

Définition

Les soins palliatifs sont des soins actifs délivrés à une personne en fin de vie, qui se trouve dans une situation médicale sans issue à la suite d’un accident ou d’une maladie grave, évolutive et incurable.

Ces soins respectent la dignité et les choix de la personne en fin de vie. Ils sont donnés de manière continue par une équipe pluridisciplinaire : médecin, infirmière, psychologue, aide-soignante, kinésithérapeute,…

Objectifs

L’objectif des soins palliatifs est de :

  • soulager la douleur et les autres symptômes gênants,
  • intégrer les aspects psychologiques et spirituels aux soins,
  • proposer un système de soutien pour aider les familles et proches à faire face à la maladie,
  • pouvoir améliorer la qualité de vie de la personne en fin de vie, ainsi que celle de ses proches.

Droit aux soins palliatifs

Toute personne en fin de vie, qui se trouve en phase avancée ou terminale d’une maladie grave, évolutive et incurable, peut avoir accès à des soins palliatifs à sa demande ou à celle de son entourage.

Ce droit est acté dans la loi du 16 mars 2009 relative aux soins palliatifs, à la directive anticipée et à l’accompagnement en fin de vie.

Pour bénéficier des soins palliatifs, il faut consulter au préalable votre médecin traitant afin qu’il introduise une déclaration auprès du Contrôle médical de la Sécurité Sociale. Cette déclaration se fera par le biais d’un formulaire spécial annexé au projet de règlement grand-ducal du 28 avril 2009 précisant les modalités d’attribution du droit aux soins palliatifs.

Le Contrôle médical prendra ensuite une décision sur la recevabilité médicale de la déclaration après avoir consulté les médecins signataires. Après cette validation, le droit aux soins palliatifs est ouvert pendant une période de 35 jours. Cette période peut toujours être renouvelable pour une ou plusieurs périodes supplémentaires de 35 jours; et ce, uniquement sur initiative dûment motivée du médecin traitant.

Suite à la validation de la déclaration d’attribution ou de prolongation, la Caisse Nationale de Santé établira un titre de prise en charge qui sera envoyé tant au médecin traitant qu’aux prestataires intervenant auprès de la personne soignée. Le médecin devra joindre ce titre de prise en charge au carnet de soins.

Refus de l’obstination déraisonnable

La loi ne sanctionne pas pénalement un médecin qui refuse ou s’abstient de prescrire des examens ou des traitements inappropriés à une personne en fin de vie qui ne pourraient lui apporter un soulagement, une amélioration de son état ou un espoir de guérison. Cette attitude est appelée le “refus de l’obstination déraisonnable”.

Par contre, devant une personne en fin de vie, le médecin a le devoir de lui permettre de recevoir des soins palliatifs.

Formation des professionnels et des bénévoles

Omega 90 est l’association luxembourgeoise de soins palliatifs et d’accompagnement de personnes en fin de vie et en deuil. Elle organise des formations en soins palliatifs s’adressant à tous les professionnels du domaine de la santé et du domaine psycho-socio-éducatif. Elles ont pour but de favoriser une prise de conscience palliative dans les institutions de soins.

Archives Journées de Gérontologie

Zum 1. Oktober, dem Internationalen Tag des älteren Menschen, organisiert die „Association Luxembourgeoise de Gérontologie/Gériatrie“ (ALGG)  ihre alljährlich stattfindende „Journée de Gérontologie“.

Rund 100 Teilnehmer aus dem professionellen Pflegebereich erhalten Einblicke in verschiedene Ansätze, die die ganzheitliche Versorgung, das Wohlbefinden und die Autonomie im Alter in den Mittelpunkt stellen.

Die Präsidentin Dr Carine Federspiel empfängt die anwesenden Fachkräften gemeinsam mit Familienministerin und Schirmherrin Corinne Cahen.

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  • 3 Oktober 2018:

Neue Konzepte zur Akutversorgung alter Menschen

Die 33. «Journée de gérontologie» der Association luxembourgeoise de Gérontologie/Gériatrie (ALGG) stand imvergangenen Oktober unter der Thematik medizinischer undpflegerischer Akutversorgung alter Menschen. In ihremGrußwort unterstrich Familienministerin Corinne Cahen ihrenRespekt vor den Pflegeberufen und plädierte mit Nachdruckdafür, dass auf keinen Fall Personal abgebaut werden solleund Pflege hochwertig bleiben müsse.

Wie ein solche gerade im Hinblick auf eine zunehmendalternde und teils fragile Bevölkerung aussehen könnte, skizzierte anschließend die deutsche PflegewissenschaftlerinProf. Dr. Ulrike Höhmann von der UniversitätWitten/Herdecke. Grundlage für ihre Ausführungen warenErkenntnisse, die im Rahmen des von der Robert Bosch Stiftung geförderten, berufsbegleitenden Masterstudiengangs„Multiprofessionelle Versorgung von Menschen mit Demenzund chronischen Einschränkungen” gesammelt wurden. Hierbei wurden Theorie/Praxis-Projekte aus ca. 20 Klinikenim Hinblick auf die Umsetzbarkeit innovativer Konzeptewissenschaftlich begleitet und ausgewertet. Als besondereProblematik sieht Prof. Höhmann die „Eigendynamik vonVersorgungsprogrammen”, die in Krankenhäusern für Abläufeund Strukturen sorgen, die gut für die Institution, aber nichtunbedingt für die Patienten sind. Insbesondere vulnerablePersonen mit reduzierter Selbststeuerung und -kontrolle wiez.B. Menschen mit Demenz könnten sich einer solch„geregelten” Umgebung nur schwer bis gar nicht anpassen, was für alle Beteiligten Konflikte und Herausforderungen zurFolge haben kann. Um Einrichtungen besser an spezifischeKlientenbedürfnisse anzupassen, kann zum einen die PAPAR-Evaluation zum Einsatz kommen, die die Parameter Personal, Assessment/Screening, Prozesse (Pflege/Behandlung), Angehörige/Vernetzung und räumliche Umgebungsystematisch untersucht. Zum anderen gelte es, eine Reflexionskultur zu fördern, um sich „einen wachen Blick zurückzuerobern und Routinen zu verändern”, so Prof. Höhmann. Eine zentrale Rolle kommt dabei der Führungsebene zu, die Strukturen, Prozesse und klinische Entscheidungen am Patientenwohl orientieren sollte: „Alltagtaugliche Sorfortmaßnahmen sind möglich, wenn alle an einem Strick ziehen. Sie nützen allen Patienten underhöhen die Berufsidentifikation der Mitarbeiter.”

Unter dem Blickwinkel «Présentation des nouveaux concepts pour la gériatrie aiguë hospitalière» stellten anschließend die Geriater Dr. Ana Sanchez (Hôpitaux Robert Schuman Luxemburg-Kirchberg) und Dr. René Dondelinger (Centre Hospitalier Emile Mayrisch Esch/Alzette) innovativeKonzepte in Luxemburg vor. Dr. Sanchez betonte dabei u.a. die Wichtigkeit einer «prise en charge systémique», die auseiner pluridisziplinären Perspektive neben dem Patienten auchFamilie und Umfeld stärker miteinbeziehe. Im geplanten Krankenhaus-Neubau auf Kirchberg sind rund 130 Betten für die geriatrische Versorgung vorgesehen. Jedes Allgemeinkrankenhaus benötige mindestens 15% an geriatrischen Betten, um gut zu funktionieren, erklärte Dr. Dondelinger anschließend. So soll im künftigen „Sudspidol” in einer eigenen Abteilung ebenfalls umfassend auf die besonderen Bedürfnisse betagter Patienten eingegangen werden. Der bereits seit 2011 im CHEM Düdelingen eingesetzte „Memotrail” zur Orientierung und Begleitung kognitiv beeinträchtiger Menschen wird dabei ebenfalls integriert.

  • 12 Oktober 2016:

Suchtererkrankt und wohnungslos im Alter :

Ein kontroverses Thema, das auch in Luxemburg zunehmend an Bedeutung gewinnt, stand im Mittelpunkt der « 31e Journée de Gérontologie », die am 12. Oktober in Walferdange stattfand. Sie wurde von der « Association Luxembourgeoise de Gérontologie/Gériatrie » (ALGG) in Zusammenarbeit mit der « Société Médicale Luxembourgeoise de Gériatrie et de Gérontologie » organisiert.

Auf der diesjährigen « Journée » wurde die Problematik Sucht im Alter vor rund 100 Teilnehmern mit verschiedenen Vorträgen anschaulich diskutiert. An zwei Beispielen aus Deutschland wurde zunächst verdeutlicht, welche konkreten Möglichkeiten der stationären Versorgung dort momentan für wohnungslose, suchtkranke Menschen zur Verfügung stehen. Dr. Gerd Reifferscheid schilderte sehr fundiert seine Erfahrungen als Referent für Sucht- und Gesundheitshilfen beim Katholischen Männerfürsorgeverein München. Hauptgründe für einen Aufenthalt in der Langzeithilfe seien Alkoholmissbrauch, körperliche Krankheiten sowie psychische Erkrankungen. Letztere seien bei dieser Population immerhin viermal höher als bei der Normalbevölkerung. Geleistet werden müssten u.a. eine intensive pädagogische Hilfestellung, Unterstützung lebenspraktischer Fähigkeiten sowie tagesstrukturierende Maßnahmen und pflegerische Hilfen. Gute Ergebnisse habe man auch mit Programmen im Rahmen eines Anti-Gewalt-Trainings sowie kontrollierten Trinkens in sog. “nassen Einrichtungen” gemacht. “Die Exzesse fallen weg, es wird weniger konsumiert, und es besteht eine echte Chance zum Ausstieg”, so Reifferscheid. Klar sei aber auch, dass eine Unterbringung in traditionellen Altenheimen aufgrund der besonderen sozialen Probleme und der Suchtproblematik sehr schwierig bis unmöglich seien: “Da oft Compliance und Krankheitseinsicht fehlen, bedeutet Pflege in diesem Fall einen ständigen Aushandlungsprozess zwischen Personal und Klientel. Deren Verhalten schwankt zwischen Rückzug und Kontaktverweigerung bis hin zu Distanzlosigkeit und Belästigung gegenüber Mitbewohnern und Personal. Supervision, Schulung und fachliche Beratung sollten regelmäßig angeboten und durchgeführt warden, um eine Überforderung der Mitarbeiter zu vermeiden.” Die ehemals Wohnungslosen erlebten es in der stationären Hilfe dagegen als positiv, ein eigenes Zimmer zu haben, zur Ruhe zu kommen, gehört und akzeptiert zu werden, ihren Alltag gestalten zu können, keinen Therapiedruck mehr zu verspüren. Kurz, sie erleben einen Gewinn an Lebenszeit.

Ute Jenniches, Altenpflegerin, und Peter Wenzel , Krankenpfleger, stellten anschließend sehr lebensnah und praktisch den Wohnbereich “Villa” vor, der auf dem Gelände eines Altenheims der Ordensgemeinschaft der Armen-Brüder des heiligen Franziskus in Düsseldorf angesiedelt ist. Dort stehen anstelle eines komplett durchgeplanten Konzepts eher die individuelle Hilfestellung zur Bewältigung des Alltags und der Freizeitgestaltung sowie die Anleitung zum Ausgleich eines Selbstpflege- und Selbstversorgungsdefizits im Zentrum der Arbeit. Ziel ist auch hier keine komplette Abstinenz, sondern “ein Leben mit Hilfe eines kontrollierten Alkoholkonsums, damit für die BewohnerInnen ein Leben in Würde ermöglicht werden kann.

Deutlich schwieriger gestaltet sich die Lage allerdings bei Langzeitkonsumenten illegaler, harter Drogen. Jean-Nico Pierre, Direktor der Luxemburger “Fondation Jugend- an Drogenhëllef, betonte die ambivalente, bis dato ungeklärte rechtliche Situation im Umgang mit illegalen Drogen im stationären Bereich. Zukunftsweisend könnte dabei u.U. das Projekt DAWO (Dauerwohneinrichtung „stationäres Wohnen“ für alternde chronisch Drogenabhängige) im westfälischen Unna sein. Hier sind der Konsum von Drogen und Alkohol innerhalb des Hauses verboten, aber “vor der Tür” sowie in Absprache mit Polizei und Staatsanwaltschaft den Klienten erlaubt. Der Psychiater Dr. Jean-Marc Cloos plädierte abschließend für einen dringend notwendigen Austausch zwischen Geriatrie und Suchtmedizin sowie verbesserte Übergänge zwischen ambulanter und stationärer Therapie: “Wir müssen die Ghettoisierung der Behandlung und Begleitung älterer Drogenabhängiger aufbrechen sowie eine Kriminalisierung vermeiden, denn sie ist das Tor zum medizinischen Desaster”, warnte Cloos eindringlich.
Im Verlauf der Veranstaltung wurde deutlich, dass es im Ausland schon einige erste Antworten im Hinblick auf die Versorgung und Begleitung suchterkrankter und wohnungsloser Menschen gibt. In Luxemburg scheinen die Fragen nach einer adäquaten, juristisch abgesicherten Unterbringung momentan allerdings noch spürbar zu überwiegen.

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  • 7. octobre 2015:

LA DEPRESSION DE LA PERSONNE AGEE

Prof Charles Pull:  Diagnostic et Traitements de la dépression chez la    personne âgée                                                                                                                               — –Jacques Reitz: Diagnostics infirmiers de la dépression                                             -Elisabeth Alves: La dépression de la personne âgée à domicile

  • Octobre 2014:

PREVENTION DE LA FRAGILITE

Dr. Pascale Cornette – Gériatre: Hôpitaux Universitaires St Luc 

En utilisant différents modèles, la recherche épidémiologique montre que la fragilité est associée à des événements de santé négatifs comme les troubles de la mobilité, l’hospitalisation, le déclin fonctionnel avec besoin d’aides et risque d’institutionnalisation.  Il est possible de détecter la fragilité, même en pratique courante.  Identifier la fragilité permet de sélectionner de façon plus appropriée les patients pour des traitements ou procédures lourdes, d’anticiper des complications.

Thesi Zak

Wie man mit Motogeragogik so manches und so manchen bewegen kann, mit dieser dieser Methode soll älteren und/oder dementen Menschen wieder die Freude an Bewegung vermittelt werden und zwar ohne sie „anzuleiten, sie dafür aber anzuregen“.

Dr. Jean-Claude Leners, Geriater und Palliativmediziner

Die belebende und positive Wirkung von Musik im Alter. Insbesondere Menschen mit Demenz sind durch Musik bis zuletzt in ihren Emotionen erreichbar, da individuelle Musikvorlieben auch im fortschreitenden Verlauf der Erkrankung erhalten bleiben.

 

Adhésion et Cotisation annuelle

Für motivierte neue Mitglieder als Privatperson oder Gesellschaft mit Tätigkeit im Seniorenbereich: Antrag per Email an Präsidentin.  carine.federspiel@zitha.lu

Jährlicher Beitrag (2023):      35,- EURO

Compte No:

BIL: IBAN: LU93 0026 2101 6007 3100

 

 

Publikationen

In Zusammenarbeit mit RBS-Center fir Altersfroen (www. rbs.lu) und Uni.lu INSIDE

2010: Themenheft Nr.1:Freiheitsentziehende Massnahmen und Gewalt in der Altenpflege”

2011: Begleitheft zur 26. Journée de Gérontologie: “Mehr als genug”: Polymedikation in Luxembourg

2012: Les Cahiers de l’ALGG: “Demenz-Der Herausforderung ins Auge schauen und als Chance begreifen”

Download Begleitheft in HQ

2013: Forum Demenz: Kurzfassung der Tagung im März:

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Oktober 2013: Gute Ernährung in jedem Alter

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März 2014: FORUM DEMENZ Plan national démence

Oktober 2014: Concept de la Fragilité Prof Pascale Cornette

März 2015: Demenz State of the Art Prof Reto Kressig

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Aktivitäten der ALGG

Die Association Luxembourgeoise de Gérontologie/Gériatrie asbl (ALGG) ist eine Gesellschaft ohne Gewinnzweck und wurde 1985 ins Leben gerufen.

Im Verwaltungsrat der ALGG sind über 20 Vereinigungen zusammengeschlossen, die sich auf unterschiedliche Weise mit der Thematik Alter Therapie, Betreuung und Pflege auseinandersetzen.

Ihr vorrangiges Anliegen besteht darin, zur Therapie, Betreuung und Begleitung älterer Menschen in Luxemburg Stellung zu beziehen und neue Denkanstöße sowohl auf politischer und professioneller Ebene als auch in der breiten Öffentlichkeit zu vermitteln. In Zusammenarbeit mit der Universität Luxemburg und anderen wissenschaftlichen Experten werden gezielt Projekte initiiert, um die Lebensqualität von alten Menschen in der häuslichen und stationären Umgebung zu gewährleisten bzw. zu steigern.

Am jeweils ersten Mittwoch im Oktober veranstaltet die ALGG für Pflege- und Führungskräfte der Altenhilfe alljährlich die „Journée de Gérontologie“, in der Fachleute aus dem In- und Ausland zu relevanten Fragestellungen referieren.

In einem jeweils im Frühjahr anberaumten, öffentlichen Rundtischgespräch diskutieren geladene Gäste aktuelle Aspekte zum Thema Demenz, Alter, Pflege und Betreuung, die von allgemeiner gesellschaftlicher Brisanz sind.